Une personne observe un avion de chasse de profil, posé sur le sol, avec un ciel bleu en arrière-plan.

Peintre de l’Air

Une personne assise sur le cockpit d'un avion, en train d'écrire ou de prendre des notes. Il porte une veste à capuche avec une fourrure dans le capuchon et des lunettes.

Un graphique en noir et blanc avec un montage de six bras, la plupart tenant des objets ou montrant des signes, avec des mains ouvertes ou faisant un geste, sur fond blanc.

En juin 2019, j’ai reçu l’agrément au titre de Peintre de l’Air et de l’Espace (peintre des armées, spécialité “Air”).
Comme passionné d’aviation depuis ma plus lointaine enfance, comme dessinateur amateur puis professionnel, comme ancien aviateur lors de mon service militaire, j’étais très fier de fusionner ces pièces disparates de mon histoire. Et de renouer avec une institution à laquelle je suis resté très attaché.

Peintre de l’Air n’est ni un grade, ni un métier. Je ne suis pas devenu militaire, je ne suis pas réserviste et je ne perçois pas un centime de l’Armée de l’Air, mais j’en suis un “ambassadeur”, au même titre que la Patrouille de France ou la Musique de l’Air (excusez du peu).

Ma première mission m’a emmené à Châteaudun, dont la base était en phase de fermeture, et où étaient rassemblés près de 200 avions retirés du service - juste avant leur démantèlement et leur destruction. C’est la raison pour laquelle vous trouvez ici plusieurs planches d’avions à l’état d’épaves. Mais j’ai aussi effectué des missions dans des bases opérationnelles, et enrichirai ma production de tableaux d’une aviation vivante !